Depuis le soir du 29 octobre 2001, les équipes d' intervention ont été sollicités à six reprises pour des interventions liées à des enveloppes ou colis suspects, mais aussi dans certains cas, à la présence de substances poudreuses en vrac.
Les spécialistes du Laboratoire national de Santé et de la Direction de la Santé soulignent que la présence de telles quantités en vrac, dans des lieux comme par exemple le jardin devant la maison ou la boîte aux lettres, ne sont pas susceptibles de véhiculer l' anthrax et ne devraient donc pas susciter de suspicion.
Par précaution le Laboratoire national de Santé a quand-même procédé, le 30 octobre, à quatre nouvelles analyses. Tous les tests du 29 octobre sont négatifs !
Communiqué de la cellule de communication du gouvernement sur l'anthrax